L’interview Instagram d’Ophélie Fontana, à quelques jours de son entrée dans le cube Viva for life
Avant de s’enfermer dans le fameux cube Vive for Life, installé cette année à Tournai, Ophélie Fontana a accepté de faire un tour avec nous sur son compte Instagram. On y trouve des photos évoquant…
La RTBF
20 ans à la RTBF… et le sentiment d’avoir gardé la fraîcheur, de découvrir encore des choses. C’est une chance! Avec Jonathan (Bradfer, sur la photo ndlr), on a mis en place le 15 minutes ensemble, c’est une partie importante de ma carrière. C’était une nouvelle expérience, un nouveau type de JT. Ça nous a permis de grandir humainement et professionnellement.
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Retrouvailles avec mon partenaire professionnel #jonathanbradfer #15minutes #jt #rtbf
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Viva for Life
Professionnellement, c’est sans doute le défi le plus dingue qu’on m’ait proposé. La cause touche tout le monde, de manière différente. Parfois les gens disent que ce n’est pas à nous de bouger, que c’est aux pouvoirs publics… Ok, mais on ne va pas rester les bras croisés. La nouvelle pauvreté, elle existe, c’est une réalité, ça peut être un couple qui ne parvient pas à boucler les fins de mois… Ce n’est pas une opération misérabiliste, il y a aussi un côté ludique pour dédramatiser parfois. On apporte une conscientisation. On fait avancer les choses. Et ça, c’est le plus important.
Viva For Life: du 17 au 23 décembre sur VivaCité et sur les médias de la RTBF.
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L’image de soi
Ça fait partie du jeu. J’ai accepté de travailler en télé en connaissance de cause. Il faut apprendre à s’apprivoiser mais c’est quelque chose qui ne me gêne pas parce qu’en Belgique, on a cette chance d’avoir une presse et un public respectueux. Je préfère donner un peu de moi plutôt qu’on vienne le chercher de manière insidieuse ou détournée.
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Le féminisme
C’est un vieux combat! Ce n’est pas un combat personnel mais un combat qui, de temps en temps, mérite d’être mis en avant, d’être souligné. Donc parfois, si une image m’inspire une situation, une petite piqûre de rappel n’a jamais fait de mal à personne.
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Le sport
Beaucoup de gens pensent que, parce que Vincent, mon mari, est journaliste sportif, je suis obligé de m’y intéresser… J’ai toujours bien aimé le sport depuis que je suis petite. Je viens d’une famille très sportive activement parlant et très assidue des programmes sport à la télé. On suivait le Tour de France et mon grand-père massait les coureurs cyclistes amateurs. Les compétitions sportives sont des événements fédérateurs et c’est toute cette dynamique que j’aime bien, que je trouve positive et que j’adore dans le sport.
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Au jardin d’Eden…?? #chelsea #foot @hazardeden_10 @chelseafc @chrissm0910 @maisquiestu
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Vincent Langendries
On a la particularité d’être deux personnages publics. C’est quelqu’un qui comprend ce que je fais parce qu’il fait la même chose que moi. On a beaucoup d’équilibre par rapport à ça, beaucoup de sérénité et de recul. Le regard que Vincent a sur le métier que j’exerce comme moi je peux l’avoir sur le sien, c’est super important et extrêmement sain. On parle de notre boulot mais sans exagérer, parce que l’essentiel est ailleurs. Je suis fière d’être avec lui, je suis fière de notre relation, de notre histoire et ça ne me dérange pas d’afficher une photo quand on partage un moment et que l’on est heureux.
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Sa famille recomposée
Avec Vincent, on n’a pas d’enfant ensemble mais on a construit quelque chose sur base de nos vies d’avant, de nos expériences et les enfants nous aident. On a de la chance parce que nos enfants s’entendent bien et l’on s’entend bien avec eux sans pour autant avoir pris la place de la mère ou du père. Le respect, l’ouverture, la tolérance, le dialogue… C’est très important pour nous.
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Sa maman
J’ai perdu ma maman il y a presque trois ans et j’ai comme ce besoin, sans doute, de continuer à la faire exister de cette manière là parce que j’ai encore du mal à accepter son départ brutal. J’étais très attachée à elle, c’était mon pilier, ma référence quand j’avais une hésitation, un doute, un questionnement par rapport au boulot, par rapport à l’éducation de ma fille, sentimentalement ou autre. Elle continue d’exister dans mon cœur, dans ma tête et ces souvenirs sont comme une forme d’hommage.
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C’était une belle journée, comme aujourd’hui…comme si c’était hier…tu nous manques ?
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Les fêtes
Pour moi, c’est un moment rassembleur, l’occasion de voir des gens qu’on aime, la famille, des amis très proches. Les fêtes ont pris une toute autre dimension avec Viva for Life qui se passe juste avant Noël et qui apporte une prise de conscience de la chance que l’on peut avoir. On ne doit pas oublier, dans un coin de notre tête, qu’on est privilégiés. Je préfère un Noël de partage où, oui, on s’échange peut-être un cadeau, mais pas forcément dix. Ce qui est important, c’est avant tout de se retrouver.
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Mode réveillon activé ????#pyjamaparty #famillechaussettes #racletteparty
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Mons
Je suis hennuyère, de Saint-Ghislain. Quand j’étais jeune, Mons était la grande ville la plus proche. C’est là qu’on sortait ou qu’on allait se balader avec les copines. C’est une région à laquelle je suis attachée. Les racines, c’est ce qui nous construit et j’aime bien pouvoir les mettre en avant.
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Les créateurs belges
Ce sont des coups de cœur et j’aime bien les mettre en avant. J’aime bien m’intéresser à ce qui se fait. C’est vrai qu’on regarde parfois ailleurs dans des tas de domaines, que ce soit dans la mode ou autre, mais on a énormément de choses qui se développent chez nous, des artisans talentueux, parfois même précurseurs de tendances et qui s’exportent à l’étranger par la suite. Je trouve ça intéressant de suivre leurs parcours. Ce sont des gens, des histoires et j’aime bien ça.
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Mon Lilu et moi, en route pour le boulot #lilu @lilu_bag #bagmania
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