7 mauvaises habitudes à abandonner pour être heureux
Certains comportements peuvent vous freiner dans votre route vers le bonheur. On a listé ici 7 attitudes que vous devriez sans doute laisser derrière vous.
Un bon mot d’ordre: soyez vous-même en sachant reconnaître vos forces, mais également vos faiblesses. Calculez moins pour vivre mieux.
1. Abandonnez ce besoin de contrôle
Travailler, faire du sport, voir des amis, bouger avec les kids, être bien dans son corps… La société impose un idéal de vie. Pour y arriver, vous avez tendance à vouloir tout maîtriser et calculer? Vous risqueriez de perdre beaucoup d’énergie à vouloir tout faire “comme il faut”, puisque c’est tout bonnement impossible. Apprenez donc à lâcher prise; le vrai bonheur, ce n’est pas d’atteindre cet idéal qui vous a été imposé, c’est d’avoir la liberté de choisir la vie qui vous séduit et qui vous ressource, en suivant vos désirs tout personnels.
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2. Abandonnez ce besoin d’avoir raison
Pour s’assurer qu’on voit juste, on a tendance à ne garder dans sa vie que les personnes qui valident nos croyances. Or, chaque idée mérite d’être remise en question. Acceptez que les vôtres ne soient pas les meilleures, et que vous puissiez vous tromper. Restez ouvert(e) d’esprit et respectez les opinions de chacun, vous avez des choses à apprendre de celles et ceux qui croisent votre route. Quel grand bonheur quand on le saisit!
3. Abandonnez la critique
Une étude réalisée par l’Université de Wake Forest (Caroline du Nord) a démontré que les personnes qui critiquaient étaient en réalité les plus malheureuses, les moins satisfaites et qu’elles avaient plus de risques d’être en proie à la dépression.
Une étude a pu démontrer que les personnes qui critiquaient étaient en réalité les plus malheureuses…
Ce que vous critiquez chez les autres reflète parfois un aspect de votre personnalité que vous n’acceptez pas ou une envie possiblement cachée. Apprenez à vous réjouir pour autrui. La clé pour y arriver? Développer votre confiance en vous.
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4. Abandonnez la routine
Dès qu’un changement vient déstabiliser votre quotidien, vous paniquez? C’est normal: l’homme est ainsi fait, c’est un mécanisme naturel d’adaptation qui pousse à éviter les situations qui menacent son équilibre (les bébés et les jeunes enfants adorent les rituels, d’ailleurs). S’il est tout à fait normal de vouloir garder son confort, c’est aussi le meilleur moyen de stagner. Pour aller de l’avant, apprenez à apprivoiser le changement petit à petit, à faire face à la nouveauté, à accueillir ce qui n’est pas prévu.
5. Abandonnez le passé
On se comprend: votre passé fait partie de vous et votre vécu a contribué à façonner la personne que vous êtes, il ne faut sans doute pas l’oublier (le peut-on seulement?), mais la somme de vos expériences ne vous définit pas pour autant, chaque jour étant un nouveau commencement. C’est ici et maintenant que vous êtes qui vous êtes, que vous pouvez faire des choix et décider du chemin à tracer. Le passé, lui, est immuable.
6. Abandonnez ce besoin d’être occupée
Entre le boulot, les sorties, les courses, le sport, vous ne parvenez pas à vous arrêter? Vous sentez l’anxiété monter dès que vous vous posez quelques minutes dans le canapé? Cette manie de vouloir être en activité traduit souvent une peur du vide, que vous cherchez à combler par l’action. Peut-être vous empêchez-vous de penser à ce qui vous panique réellement (votre santé, vos relations, votre rapport au monde, à la mort…). Prenez le temps de réfléchir à ce qui vous rend anxieux, notez et discutez-en éventuellement avec un professionnel de la santé.
Peut-être n’avez-vous pas d’angoisses sous-jacentes, mais seulement l’envie irrésistible de bien faire et/ou d’être reconnu(e). Être en mouvement vous donne alors l’impression d’être au fer et au moulin et l’occasion d’être admiré(e) pour vos accomplissements. Pensez-y aussi…
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7. Abandonnez ce désir de plaire
Votre besoin de validation traduit peut-être un manque de confiance en vous qui vous pousse à prétendre être celle ou celui que vous n’êtes pas. Cela vous oblige alors à faire des choix qui satisfont vos amis, votre famille, vos collègues, au détriment de vos désirs propres. Résultat: les autres vous aiment pour ce que vous n’êtes pas à 100%. Exercice: laissez place au naturel, puis acceptez la critique que la démarche pourrait susciter. La seule personne à qui vous devez plaire, c’est vous.
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