Instagram: Alex Vizoker, Hector Langevin, Félix Radu

3 séducteurs nous parlent d’amour

On les trouve séduisants, ils en jouent ou s’en défendent. Mais tous sont de grands amoureux, et nous le racontent à cœur ouvert.

Focus sur trois hommes qui ont ce petit quelque chose qu’on aime bien. Et encore plus depuis qu’ils nous ont décrit comment ils imaginent ou vivent l’amour avec un grand A.

Félix Radu (chroniqueur et comédien), le romantique

“Je suis vraiment et très fort tombé amoureux une seule fois, à 20 ans. Ça a duré un an, ma plus longue relation. Quand on me parle d’amour, c’est son visage qui me vient en tête. Pourtant j’ai rencontré plein de filles avec qui j’ai vécu des petites histoires géniales, mais avec elle, ça a été douloureux, brûlant, passionnel… On s’est séparés, mais on gravite encore dans les mêmes milieux et on est toujours heureux de se croiser. Je pense que les amoureux restent des amoureux toute leur vie, même quand ils se quittent. Oui, je sais, je suis un grand romantique.

J’ai tendance à faire beaucoup de choses pour éviter la monotonie, ça aide à ce que les histoires soient jolies, même si elles ne durent pas. Car ce n’est pas parce qu’un couple ne dure pas toute la vie qu’il n’a pas existé de la même force. La valeur d’un couple ne se juge pas à la longueur, 10 minutes ou 10 ans, mais à la manière dont ça a existé. J’aime la beauté des moments. Et je n’exclus pas de tomber amoureux d’un homme, qui sait? Rien en moi ne me l’interdirait, au contraire! Je suis vite séduit, je peux tomber très amoureux le temps d’une soirée. Mais c’est plus difficile sur le long terme. C’est pour ça que j’ai surtout connu des histoires très courtes. En couple, je suis inventif, plein de fantaisie, je veux que ce soit comme dans un film – faire péter des feux d’artifice, envoyer un ami jouer du violon en pleine rue… Je pense être un chouette partenaire de vie et un bon amant, je crois. Comme j’aime le dialogue, il est ouvert sur tous les sujets, même les plus corporels. J’ose demander à l’autre comment elle prend du plaisir, comment elle envisage sa sexualité. Je suis toujours surpris quand une fille me répond qu’on ne lui avait jamais posé la question…”.

Pour lui, l’amour, c’est… Accepter les failles et les imperfections de l’autre, et les siennes. C’est ne plus devoir être parfait, ou solide. C’est se dire ‘Soyons fragiles ensemble, soyons un refuge l’un pour l’autre’.

 

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Alex Vizorek (humoriste), le rigolo

“On m’a déjà dit que j’avais une image de séducteur, et je pense jouer le jeu. C’est toujours l’idée de départ de n’importe quel artiste, et certainement des comiques, parce que quand le public rit, il est séduit. Je n’irais pas jusqu’à dire que l’humour est un aphrodisiaque, mais Charline (Vanhoenacker avec qui il co-anime Par Jupiter sur France Inter, ndlr) utilise un terme qui me plaît bien, celui de ‘vaseline sociale’, c’est-à-dire que si on est drôle, les gens ont l’impression qu’on crée le lien. Et c’est vrai que quand quelqu’un te sourit, tu lui parles plus spontanément. En ce sens, l’humour est une arme de séduction.

Tant mieux car je n’ai jamais pensé être très beau. Je ‘récupère des points’ dans ma façon d’être à l’aise avec moi-même, avec les mots, avec l’ambiance générale… Au fond, la ‘Femme qui rit, à moitié dans son lit’ est assez juste. Sauf qu’il reste encore l’autre moitié de la phrase qui n’est pas toujours la plus évidente! Ce n’est pas plus difficile à l’ère #metoo, c’est un code de bonne conduite qu’on aurait dû avoir depuis le début. J’ai toujours été très respectueux, quand une femme disait oui, je demandais une deuxième fois parce que je trouvais déjà formidable qu’elle veuille bien et je me disais que je n’avais peut-être pas bien entendu donc je préférais qu’elle le répète. Voire que ce soit elle qui me tire vers elle!”

Pour lui, l’amour, c’est… Comme le feu, “je ne sais pas si les dieux ont bien fait de le donner aux hommes”.

 

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Hector Langevin (acteur), le beau gosse

“Je sais que je suis séduisant, mais j’évite d’en jouer. Ce serait cavalier et peu élégant de ma part. Cela dit, ça ne me dérange pas de séduire, j’aime ça. En bon Lion que je suis, m’entendre dire ‘Tu es beau’, ça flatte mon ego, c’est agréable. Mais je ne suis pas en demande de compliments! Je comprends que certaines scènes que je dois ou devrai jouer sont compliquées pour ma copine, comme ça l’est pour moi aussi, vu qu’elle est mannequin.

La clé, c’est la confiance. Et quand je dis à Bérénice, les yeux dans les yeux, que je l’aime et qu’il n’y a qu’elle, elle sait que je suis sincère. Je suis de nature fidèle et très respectueux, un peu ‘vieille France’. Pour moi, la fête des amoureux, c’est tous les jours, je n’attends pas une date pour faire des surprises, même si c’est l’occasion de faire quelque chose d’un peu plus particulier. J’aime le romantisme, la séduction à l’ancienne. Un dîner aux chandelles avec des pétales de roses, et je suis l’homme le plus heureux du monde! En fait, c’est la rendre heureuse qui me rend heureux. Le charme et la beauté d’une femme, je ne les définis pas que sur son physique, même si ça aide, ce serait malhonnête de dire le contraire. Mais la séduction passe surtout par l’intelligence, la façon de parler, la grâce des mouvements. Pour me séduire, moi? Il en faut beaucoup… je vis au pays des rêves, j’aime rêver et j’aime qu’on me fasse rêver. Or, mon quotidien est déjà tellement merveilleux que c’est difficile de me faire rêver davantage…”.

Pour lui, l’amour, c’est… Ce bonhomme qu’il a dessiné pour la fille de Bérénice. Il a la tête en forme de cœur. C’est le 3e membre d’un couple, qui doit être en équilibre, à égale distance des deux protagonistes pour qu’aucun n’en ait moins que l’autre.

 

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Textes: Stéphanie Ciardiello et Nicolas Witczak 

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