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J’ai testé: une journée sans Facebook

Avec 2,1 milliards d’utilisateurs actifs, Facebook est sans conteste un réseau social incontournable. S’en passer, aujourd’hui, qu’est-ce que cela implique?

Après Google et YouTube, Facebook est le site web le plus fréquenté de par le monde. Plus de 2 milliards de personnes sont inscrites et utilisent régulièrement le réseau social dirigé par Mark Zuckerberg. J’en fais partie. Des débuts, il y a dix ans, où l’on partageait tout (et surtout n’importe quoi) sur nos murs, il reste l’utilisation quotidienne, qui s’est néanmoins réduite à une peau de chagrin. Fini de troquer ses données contre quelques jeux ou tests de personnalité, terminé d’offrir ses photos ou ses opinions à qui pourrait en tirer profit, l’heure est au scroll muet et aux messages instantanés. Pourtant, si mon utilisation se veut plus raisonnée (soyons honnête, elle ne l’est pas totalement), je n’ai jamais vraiment quitté Facebook pour de bon.

À quoi ressemble une journée sans Facebook?

Comme beaucoup de personnes, j’ai déjà désactivé mon compte Facebook. (Désactivé, oui, car ce dernier reste en dormance tant que vous ne faites pas la démarche de le supprimer complètement et irrévocablement.) Cela avait duré quelques semaines, mais j’avais dû y revenir pour diverses raisons. J’ai retenté l’expérience cette année, mais durant une unique journée, car le plus populaire des réseaux sociaux est également devenu un de mes outils de travail. Voici néanmoins ce que cette journée sans Facebook a impliqué.

Une journée sans Facebook, c’est:

  • avoir plus de temps pour lire un bouquin,
  • moins surveiller son téléphone et donc l’heure,
  • échapper à la publicité ciblée,
  • ne pas consommer l’actualité de la même manière,
  • rater les blagues des collègues via la messagerie instantanée,
  • ne pas être au courant de la baby shower de Lucie,
  • avoir l’impression de maîtriser ses données,
  • oublier de souhaiter un bon anniversaire à son ami d’enfance,
  • compenser via Instagram,
  • se sentir un peu en marge,
  • ne pas se soucier de la popularité de sa dernière photo,
  • rater une bonne affaire sur le Market Place,
  • appeler un ami pour aller boire un verre,
  • ne pas pouvoir accéder à ses photos souvenirs,
  • être plus concentrée,
  • ne pas comparer sa vie à celle des autres,
  • ne pas se rappeler du concert du soir,
  • être plus présente pour ses proches.

À l’issue de cette journée dans Facebook, j’ai réactivé mon compte, pour le meilleur et pour le pire…

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