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Faites la connaissance de Sylvie Trézegnies, chauffagiste au féminin

Advertorial

Selon le domaine d’activité, certains corps de métiers sont associés tantôt à la gent masculine tantôt à la gent féminine. Et dans les secteurs manuels, requérant de la force, la tendance fleure la testostérone. Pourtant, à Binche, une chauffagiste réchauffe le cœur de ses clients hainuyers…

Voilà 14 ans, Sylvie Trézegnies reprenait l’entreprise familiale lorsque son père tombe malade, perpétuant la tradition familiale, notre interlocutrice étant la 4e du nom. Rien de bien étonnant sauf que Sylvie a repris Chauffage Confort, que son arrière-grand-père créait à Péronnes-lez-Binche il y a 111 ans ! Un secteur d’activité dans lequel les femmes se font trop rares. « Je n’étais pas dédiée à ce métier, mon père étant contre l’idée qu’une femme soit chauffagiste », explique la gérante. « J’ai donc commencé en tant qu’employée de bureau, pour ensuite accompagner mon père sur chantier, me permettant d’apprendre le métier sur le terrain et ce, sans formation scolaire. Depuis mon plus jeune âge, je me joignais à lui. J’ai toujours aimé cela. »

Les ramarques fusent

Au fil des ans, Sylvie a prouvé qu’elle disposait des compétences nécessaires pour être une chauffagiste reconnue. Un parcours qui ne fut pas une sinécure. « Quand j’arrivais en formation, j’étais la seule femme parmi les hommes », précise la Binchoise. « Vous imaginez volontiers que le milieu fait la part belle au machisme. Il n’était pas rare que certaines réflexions déplacées fusent… ». Mais la digne héritière n’en n’avait cure ! Malgré un bagage technique et une expérience dont bien des collègues masculins la jalouseraient, Sylvie n’est jamais à l’abri de remarques de certains clients. « Exceptés les habitués, beaucoup s’étonnent encore de voir une femme chauffagiste, m’obligeant toujours à expliquer mon parcours. »

Oser et foncer

Techniquement, une femme peut évidemment acquérir les connaissances nécessaires pour mener à bien tous les travaux. Mais les stéréotypes déplacés laissent à penser que les hommes seraient plus aptes à le faire. Une donne que Sylvie balaie d’un revers de main. « Les compétences n’ont rien à voir avec le genre. La seule condition de ce job, c’est d’avoir de la force. Et je n’en manque pas ! Je réalise n’importe quel dépannage. Quand il faut enlever une ancienne chaudière de 250 kg, l’aide est la bienvenue, mais c’est valable pour la plupart des chauffagistes. » Pour Sylvie, l’essentiel quand on est une femme dans cette profession, c’est de vouloir y arriver et de foncer !

Buderus au soutien des femmes

Et si Sylvie travaille avec Buderus, c’est parce que c’est une marque réputée au rapport qualité/prix de premier plan, en laquelle les clients ont une confiance quasi aveugle. « Je ne me suis jamais sentie jugée en reprenant l’entreprise. Il faut dire que j’étais déjà présente dans les bureaux, la marque savait que j’étais allée à bonne école. Nos relations ont toujours été courtoises et professionnelles. Deux raisons de plus de travailler avec Buderus. » Conscient que l’expertise n’est pas dépendante du genre, Buderus soutient et encourage les femmes, comme Sylvie, à se lancer dans le milieu du chauffage. Si cet univers vous enthousiasme, rejoignez les équipes multidisciplinaires de Buderus Belgique, en postulant via www.buderusjobs.be !

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