Le Louboutin nouveau est arrivé!
Grande effervescence dès l’arrivée de l’invitation dans les boîtes mail des membres de la rédaction. Toutes veulent en être. Et je les comprends !
Chez Smets, tout un espace décoré par les soins de l’équipe parisienne Louboutin est dédié à la célèbre chaussure à semelle rouge. Ici, on vend du rêve, du glamour, du red carpet. Et ce rêve a un prix (beaucoup trop élevé pour une chroniqueuse, je vous le confirme). Cela ne semble pas déranger les 500 invités triés sur le volet qui slaloment entre Champagne et petits fours. Les essayages vont bon train, les commandes aussi. Pour moi, ce sera un plaisir des yeux uniquement !
Escarpins classiques, à plateau, sandales plates, boots à frange, bottillons cloutés : elles sont plus belles les unes que les autres. « Mais sont-elles confortables ? » M’enquière-je auprès de Marie Richard, cerveau commercial de la marque. « C’est ce que les lectrices veulent savoir, car elles n’ont pas l’occasion d’en essayer. » « Oui très » s’écrie en chœur les femmes autour de moi, toutes chaussées de Louboutin. « Mais c’est vrai qu’on les réserve plus pour les occasions que pour conduire les enfants à l’école ».
Le message est clair : Pour moi, une chaussure qui coûte 466 repas chauds à la cantine scolaire devrait au moins pouvoir être portée plus que trois fois par an.
Mais on peut rêver, non ?