Vous avez voté: voici le top 10 de vos livres préférés cette année

Rebecca, romancière, traverse une période de vide. Elle rencontre Lino, un artisan discret, passionné d’art, qui porte en lui une histoire lourde. Il s’ouvre, puis disparaît sans explication. Rebecca part alors sur ses traces, bien décidée à en faire le héros de son prochain roman.

Vous l’avez adoré… parce que c’est un livre qui répare: ça parle de recommencer, de reprendre confiance, de se relever. Un roman feel-good à déguster avec une tasse de thé.

Diane menait une vie bien rangée: un mari, 2 enfants, un boulot qu’elle aime. Quand Seb la quitte, elle s’effondre… et ne voit pas que Lou, 16 ans, est au bord du gouffre après son premier chagrin d’amour. En tentant de sauver sa fille, Diane doit affronter un passé qu’elle fuyait.

Vous l’avez adoré… parce que c’est touchant sans en faire des tonnes: on rit, on a la gorge serrée, et surtout on se reconnaît. Les dialogues sonnent vrai, et le livre traite de la santé mentale des ados – sujet essentiel! – avec beaucoup de justesse.

Chaque matin, Eve mène une vie parfaite avec Nate, son mari: ils enseignent au même lycée, elle les maths, lui l’anglais. Mais l’établissement sort d’un scandale: une élève, Addie, aurait eu une liaison avec un prof renvoyé. Cette année, Addie est dans les classes d’Eve et de Nate. Prédatrice ou victime: qui est vraiment Addie?

Vous l’avez adoré… parce que l’autrice de La Femme de ménage a ce don rare: celui de faire disparaître le temps une fois que l’on ouvre ses livres. Avec une plume aussi fluide qu’efficace, la reine du thriller psychologique nous aspire dès les premières pages dans une atmosphère à la fois oppressante et addictive.

1990: un capitaine français est envoyé au Rwanda, dans un pays sur le fil. Des années plus tard, sa fille et sa petite-fille s’envolent pour le pays pour remonter la piste de leur origine. L’un des auteurs francophones les plus lus propose ici un roman historique haletant sur la guerre au Rwanda, à la croisée de 3 générations.

Vous l’avez adoré… parce que la tension monte au fil des pages, que l’intrigue est solide et la fin explosive. Aussi prenant qu’un thriller, mais aussi beaucoup plus riche, puisque la fiction, très documentée, permet de mieux comprendre une page importante de l’histoire.

Adrienne, 4 ans, passe l’été chez sa grand-mère maternelle, une femme cruelle qui n’aime que son chat. Pour survivre, elle adopte une armure: le “tant mieux” qu’elle se répète comme une formule pour survivre. Dans ce roman, Amélie Nothomb écrit pour la 1^re fois sur sa maman, décédée il y a peu.

Vous l’avez adoré… car notre star nationale nous ravit toujours par sa plume à la fois poétique, mais fluide. C’est court, percutant, et ça va droit au cœur.

En 1959, on suit une famille ordinaire (les Pelletier), en pleine période de prospérité en France. Mais un déplacement à Prague, “de l’autre côté” du rideau de fer, les fait tomber dans une histoire d’espionnage et de guerre froide.

Vous l’avez adoré… parce que c’est un roman-série addictif: plein de personnages, des secrets, des tensions, et un rythme qui ne retombe jamais. En plus, l’époque est super bien plantée: c’est comme si on y était.

Une visite scolaire au zoo tourne au chaos et une enquête s’ouvre pour comprendre ce qui s’est vraiment passé. Raconté avec un humour délicieux et un regard d’enfant, le roman révèle les petites lâchetés, les réflexes de clan et les règles parfois absurdes du monde des grands.

Vous l’avez adoré… parce que ce livre est drôle ET intelligent, sans donner de leçon. Le livre fait sourire souvent et l’air de rien ça pointe nos petites hypocrisies d’adultes. C’est le genre de bouquin qui fait du bien.

À Chambly, un patient délirant, sans papiers, est interné après avoir poussé un homme sur les rails. En Seine-Saint-Denis, Sharko enquête sur le meurtre brutal d’un quinquagénaire, sans aucune empreinte ni ADN sur place. 2 affaires, 2 hommes: qui sont-ils et quel lien les unit?

Vous l’avez adoré… parce qu’il s’agit d’un triller terriblement efficace, avec un suspense qui monte crescendo jusqu’à devenir insoutenable.

Après un accident, le petit garçon de Lucie se renferme et décide qu’il ne marchera plus. Lucie s’épuise à vouloir tout porter: l’enfant, la maison, le couple qui vacille. Quand une présence inattendue entre dans leur quotidien, quelque chose s’ouvre enfin. Un roman sensible sur la famille, la fragilité, et l’aide parfois discrète de ceux qui entourent.

Vous l’avez adoré… parce que ça parle vrai de la fatigue, de la peur, du couple qui prend des coups… mais sans noirceur gratuite. C’est doux, réconfortant, et ça rappelle quelque chose d’essentiel: on a le droit de ne pas être forte tout le temps.

Dans ce dernier tome de la trilogie, on suit 2 sœurs, Mia et Inès, qui ont grandi entre le Maroc et la France, et qui cherchent leur place avec le poids de leur famille et de leur histoire.

Vous l’avez adoré… parce que ça raconte des destins de femmes: les choix, les départs, la famille, ce qu’on garde et ce qu’on laisse derrière. C’est intense, parfois brutal, et on y repense longtemps après l’avoir rangé dans sa bibliothèque.