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© Sam Barsky / Instagram

Vu sur Instagram: les tricots fantasques de Sam Barsky

Dans la vie, Sam Barsky a deux passions: les voyages et le tricot. Sur son compte Instagram, il marie les deux avec la juste dose de kitsch.

Sam Barsky tricote depuis 1999. Tandis que la plupart des touristes se photographient devant les monuments emblématiques des régions qu’ils visitent, ce résident de Baltimore va plus loin. Tout en programmant son voyage, il prépare également sa tenue faite-main. Maille après maille, il tricote des pulls qui représentent le site touristique où il compte se rendre. Ainsi, il peut immortaliser le lieu et son chandail dépeignant ce même endroit.

Tricots touristiques

Le premier pull que Sam Barsky a tricoté représentait le Tower Bridge de Londres. Il raconte au magazine Forbes avoir été inspiré par une image qu’il avait vue dans un magazine: “Je n’étais jamais allé là-bas et je ne l’ai pas réalisé pour un voyage en particulier. Mais lorsque j’ai commencé à tricoter davantage de monuments ou de lieux célèbres, comme le Golden Gate Bridge ou les canaux de Venise, j’ai su que je voudrais y aller en portant mes créations”.

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Stonehenge est le premier pull qu’il a confectionné avec un véritable voyage en tête. 132 tricots plus tard, Sam Barsky a visité pratiquement tous les endroits qu’il a tricotés.

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Vivre du tricot

Les internautes demandent fréquemment à Sam Barsky s’il compte commercialiser ses pulls. L’homme, qui fabrique ses modèles sans patron ni diagramme, n’y pense pas pour le moment. Chaque pull nécessite un mois de travail (sans compter les chandails et les robes qu’il réalise pour son épouse, qui n’a pas attrapé le virus du tricot), ce ne serait pas possible d’en faire commerce. Il n’exclut cependant pas une production de masse pour l’avenir. En attendant, le tricot est tout de même devenu l’activité principale de l’Américain. Il vend des t-shirts sur lesquels ont été reproduits ses designs, ainsi que d’autres objets, et il se déplace pour parler de son parcours et donner des cours de tricot.

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