
Cinéma: 4 films en salles à voir absolument
Le temps est gris, maussade, pluvieux, changeant. Pour l’oublier, on fuit dans la salle de cinéma la plus proche. Au programme, on a le choix. Focus sur quatre films qui sortent du lot cette semaine.
1. “Battle of the sexes” avec Emma Stone et Steve Carell
Ça raconte quoi?
Billie Jean King, championne de tennis, complète son palmarès en remportant trois titres du Grand Chelem. Lors et en dehors des compétitions, la sportive milite pour l’égalité homme-femme sur les courts de tennis. Bobby Riggs, ancien numéro un mondial profondément misogyne, entend bien lui faire mordre la poussière. Il lui propose alors de l’affronter dans un match simple.
Pourquoi on va le voir?
Basé sur une histoire vraie, ce film dépeint un événement sportif marquant de l’année 1973. On y découvre la force de caractère et le féminisme de Billie Jean King, sous les traits de la talentueuse Emma Stone. Un film d’empowerment que l’on doit aux réalisateurs de Little Miss Sunshine.
Vous pouvez modifier vos choix à tout moment en cliquant sur « Paramètres des cookies » en bas du site.
2. “Le Brio” avec Camélia Jordana et Daniel Auteuil
Ça raconte quoi?
Neïla Salah a grandi à Créteil, dans la banlieue parisienne. Mue par l’envie de devenir avocate, elle s’inscrit à la prestigieuse université d’Assas. Le jour de la leçon inaugurale de Pierre Mazard, elle rate son métro et arrive en retard, s’attirant ainsi les foudres de son professeur; un homme connu pour ses dérapages et ses propos réactionnaires. Or, nous sommes en 2017 et tout le monde a filmé son incartade. Pour se racheter une conduite, Pierre Mazard va devoir dépasser ses préjugés et préparer Neila au grand concours d’éloquence.
Pourquoi on va le voir?
Plus que la trame narrative, plutôt cousue de fil blanc, qui célèbre les ponts qui se construisent au-dessus des fossés qui séparent parfois les générations et les cultures, ce sont la rhétorique et l’éloquence qui sont les héroïnes de ce film. Il nous rappelle que la richesse de la langue et la rigueur d’une argumentation peuvent ouvrir des portes, comme nul autre outil.
Vous pouvez modifier vos choix à tout moment en cliquant sur « Paramètres des cookies » en bas du site.
3. “La passion Van Gogh” avec Chris O’Dowd et Douglas Bouth
Ça raconte quoi?
1891, Vincent Van Gogh vient de se donner la mort. Joseph Roulin, facteur de son état, charge son fils, Armand, de remettre une lettre à Théo, le frère de Vincent van Gogh. Hélas, arrivé à Paris, il apprend que Théo s’est lui aussi suicidé, anéanti par la disparition de son frère. Armand se rend alors à Auvers-sur-Oise, où le peintre a passé ses derniers mois, pour essayer de comprendre son geste désespéré. Au fil des rencontres, il découvre la vie passionnante de l’impressionniste.
Pourquoi on va le voir?
Entièrement peint à la main au départ des peintures de l’artiste, ce film britannico-polonais est une oeuvre d’art. Amateur du travail de Vincent Van Gogh ou non, on y va pour découvrir cette prouesse technique, ainsi que l’histoire, basée sur les correspondances du peintre.
Vous pouvez modifier vos choix à tout moment en cliquant sur « Paramètres des cookies » en bas du site.
4. “Le sens de la fête” avec Jean-Pierre Bacri et Eye Haïdara
Ça raconte quoi?
Wedding planner depuis des années, Max n’est pourtant pas à l’abri de déconvenues. Alors qu’il a tout organisé, du repas, à la réservation de l’orchestre ou du photographe, il doit faire face à quelques fâcheux imprévus et croiser les doigts pour le mariage de Pierre et Héléna se déroule au mieux.
Pourquoi on va le voir?
À l’affiche depuis quelques semaines, le dernier film du tandem Toledano/Nakache (“Intouchables”, “Samba”) est une comédie française réussie. Vraiment drôle, on fonce la voir tant qu’elle est encore en salles.