Bébé fait des cauchemars. © Getty Images

Au secours! Mon bébé fait des cauchemars

Par Tatiana Czerepaniak

Bébé pleure toutes les nuits et vous vous sentez de plus en plus épuisée. Mais comment savoir s’il fait des cauchemars et surtout, que faire en cas de panique nocturne? Voici quelques explications qui pourraient vous aider!

Quand un tout-petit ne dort pas, c’est toute la famille qui est éreintée. Si bébé pleure toutes les nuits et semble inconsolable, il est peut-être sujet aux angoisses ou aux terreurs nocturnes. Particulièrement difficiles à détecter chez le nourrisson, les causes de ces crises de panique sont peu connues même des médecins et laissent les parents dans un profond état de désarroi et d’impuissance.

Reconnaître les signes d’une terreur nocturne

Pour savoir si votre petit fait des terreurs nocturnes, il y a plusieurs signes qui ne trompent pas:

  • Votre enfant a l’air réveillé mais il ne l’est pas vraiment. Il est impossible de communiquer avec lui, on dirait qu’il ne vous entend pas.
  • Il est en panique et ne se laisse pas consoler, il refuse même parfois que vous le touchiez.
  • La crise intervient environ trois heures après le coucher, lorsqu’il dort profondément.

Bébé fait des cauchemars, comment réagir?

Face aux angoisses nocturnes, il est très difficile de rester serein. Ajoutez à cela la fatigue des premiers mois après la naissance et vous pourrez éprouver la sensation de perdre le contrôle. Le premier conseil est donc de chercher l’aide d’un spécialiste, pédiatre ou médecin généraliste. Il vous apprendra à distinguer les pleurs habituels des cauchemars. D’autres astuces pourront aussi vous aider:

  • Sortir le bébé du lit: dès le début d’une crise de panique, retirez bébé de son lit. Tentez aussi de le réveiller le plus doucement possible. Le plus important est de le sortir de cet état de demi-sommeil, très angoissant pour lui. Chantez-lui sa berceuse préférée, proposez-lui un biberon, ou lisez-lui une histoire, par exemple.
  • Alterner la participation entre les coparents: les crises de terreurs nocturnes peuvent durer plusieurs semaines. Il est donc important de pouvoir tenir le coup, et de ne pas succomber face à cette charge mentale supplémentaire.
  • Essayer de rester calme: c’est un conseil bien difficile, mais il est primordial de rester patient face à cette situation. Il ne sert à rien de se fâcher, au risque d’intensifier la crise.

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