La chirurgie antikilos

Lorsque maigrir devient une question de vie ou de mort, la chirurgie peut être la seule solution. 
Lorsque maigrir devient une question de vie ou de mort, la chirurgie peut être la seule solution. 

En Belgique, 12,1 % des hommes et 18,4 % des femmes souffrent d’obésité. Et quelque 50 000 Belges, dont l’indice de masse corporelle (IMC), c’est-à-dire le poids divisé par la taille au carré, dépasse 40, sont concernés par l’obésité ‘morbide’, qui réduit l’espérance de vie de 10 à 15 ans.

Pas si facile que ça!

Est-ce à dire que seuls les obèses ‘sévères’ recourent à la chirurgie bariatrique (du grec ‘baros’, ‘poids’ et ‘iatros’, ‘médecin)? "Rien n’interdit à un chirurgien d’appliquer ce traitement dans un cas d’obésité modérée, reconnaît Benoît Navez, chef de Clinique et responsable de l'obésité aux Cliniques Universitaires Saint-Luc. Mais, si le patient veut bénéficier du remboursement INAMI, il doit répondre à des critères stricts: un IMC minimum de 40, qui peut être réduit à 35 s‘il présente une ou plusieurs ‘comorbidités’ (diabète de type 2, hypertension artérielle, apnées du sommeil); un an de régime sans résultat durable; et l’accord de son chirurgien, d’un spécialiste de médecine interne  – le plus souvent un endocrinologue – et d’un psychologue clinique ou d’un psychiatre. Quoi qu’en pensent certains, une intervention de chirurgie bariatrique n’est donc pas une solution de facilité."

Retrouvez la suite de cet article dans votre Femmes d'Aujourd'hui du 4 avril 2013.

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